La Dîme : obligatoire pour le chrétien ?

La dîme est un sujet qui divise les chrétiens ! Pour certains cette pratique est une obligation, tandis que d’autres affirment qu’elle n’a plus lieu d’être. Qui a raison ? Que dit la Bible ?

C’est ce que nous verrons dans cet article !

La dîme vient du latin decima qui veut dire « dixième ». Aujourd’hui, elle correspond à un don représentant 10% des revenus du fidèle. Elle peut être versée à une église locale ou à une œuvre chrétienne. Ce terme est utilisé plusieurs dizaines de fois tout au long de la Bible, notamment dans l’Ancien Testament.

La Parole de Dieu étant la source essentielle pour obtenir des réponses sur n’importe quel sujet, cette partie explorera les divers passages bibliques concernant la dîme.

La première mention de la dîme se trouve dans la Genèse, lorsqu’Abram décide de donner un dixième de tous les biens de Sodome à Melchisédech.

« Melchisédech, roi de Salem, fit apporter du pain et du vin. Il était prêtre du Dieu Très-Haut. Il bénit Abram en disant : « Qu’Abram soit béni par le Dieu Très-Haut, le maître du ciel et de la terre ! Béni soit le Dieu Très-Haut qui a livré tes ennemis entre tes mains !» Abram lui donna la dîme de tout. »
(Genèse 14 : 18 – 20 (LSG))


Quelques chapitres plus loin, la dîme est une nouvelle fois mentionnée avec Jacob qui promet de donner la dîme de tout, à la condition que Dieu l’accompagne et le protège durant ce voyage.

« Cette Pierre dont j’ai fait un monument sera la maison de Dieu et je te donnerai la dîme de tout ce que tu me donneras ». (Genèse 28 : 22 (SG21))

Il est intéressant de constater que, quelques siècles avant la loi, Abram et Jacob, versaient déjà une dîme. Il ne le faisait pas par obligation mais volontairement.

Sous la loi mosaïque, le paiement de la dîme était obligatoire et se réglait principalement avec des produits agricoles. Les Israélites devaient s’acquitter de 3 dîmes :

 *La dîme des lévites (Lévitique 27:30-33)
Cette première dîme était destinée aux Lévites et aux prêtres pour qu’ils puissent se nourrir. En effet, ils n’avaient pas le droit de posséder des terres (Nombres 18 : 24) et étaient donc dépendants de ces dons.

*La dîme des festivités (Deutéronome 12 :17-18)
Cette deuxième dîme devait être amenée au Temple et mangée par l’Israélite, sa famille, ses serviteurs et les sacrificateurs.

*La dîme des pauvres (Deutéronome 14 : 28-29).
Cette troisième dîme était destinée à aider les pauvres, les veuves et les orphelins, elle était applicable tous les 3 ans.

Ainsi, en additionnant l’ensemble des dîmes, la quantité totale donnée par les Israélites chaque année s’approchait davantage de 23,3% que de 10%.

Autres versets sur la dîme : 2 Chronique 31 : 5, Exode 22 : 28, Nombre 18 : 24

La mention du mot « dîme » est plus rare dans le nouveau testament.

Jésus ne cite que trois fois la dîme dans les évangiles.

« Mais malheur à vous, pharisiens, parce que vous payez la dîme de la menthe, de la rue et de chaque plante et que vous négligez la justice et l’amour de Dieu; voilà ce qu’il fallait pratiquer, sans négliger le reste. » (Luc 11 :42)

Passage presque similaire dans Matthieu 23 :23

Dans ces versets, Jésus reproche aux pharisiens d’accorder trop d’importance à la dîme et d’oublier la justice et l’amour de Dieu, néanmoins il ne conteste pas cette dernière.

Les propos de Jésus concernant la dîme s’adressaient exclusivement aux pharisiens et non à ses disciples. Il n’a jamais imposé la dîme à ses disciples.

« Deux hommes montèrent au temple pour prier; l’un était un pharisien, l’autre un collecteur d’impôts. Le pharisien, debout, faisait cette prière en lui-même: ‘O Dieu, je te remercie de ce que je ne suis pas comme les autres hommes, qui sont voleurs, injustes, adultères, ou même comme ce collecteur d’impôts. Je jeûne deux fois par semaine et je donne la dîme de tous mes revenus. Le publicain, se tenant à distance, n’osait même pas lever les yeux au ciel; mais il se frappait la poitrine, en disant: O Dieu, sois apaisé envers moi, qui suis un pécheur. Je vous le dis, celui-ci descendit dans sa maison justifié, plutôt que l’autre. Car quiconque s’élève sera abaissé, et celui qui s’abaisse sera élevé. »
(Luc 18 : 11-14)
Jésus nous a parlé de deux hommes. L’un d’eux se vantait de payer la dîme, et l’autre ne la payait certainement pas en titre de publicain qu’il était. Lequel des deux a-t-il été justifié ? (Luc 18:10-14).

Qui donc fut justifié devant le Seigneur, celui qui se vantait de payer la dîme, ou celui qui ne la payait pas mais qui avait une attitude de profonde repentance ?

On retrouve également quelques mentions de la dîme dans la lettre aux Hébreux, au chapitre 7, lorsque l’auteur fait une comparaison entre Melchisédech et Jésus.

Quant à Paul, il ne fait nullement mention de la dîme dans ses écrits.

Non, la dîme n’est pas une obligation aujourd’hui et cela pour plusieurs raisons :

Le seul moment où la dîme était obligatoire, c’était au temps de la loi. Cet « impôt » servait à organiser la nation d’Israël qui était alors une théocratie.

Or, le contexte est aujourd’hui différent, car l’Église n’a pas de terre, de gouvernement ou encore de fonctions juridiques.

Nous sommes aujourd’hui dans une nouvelle alliance. Nous sommes sous la Grâce.

« Car Christ est la fin de la loi pour que tous ceux qui croient reçoivent la justice. » (Romain 10 : 4)

Il est vrai que Jésus ne désapprouvait pas la dîme (Luc 11 : 11) mais c’était avant la Pentecôte. De plus, aucun de ses enseignements n’exige son paiement.

Dans la Bible, le versement de la dîme concernait uniquement les produits agricoles et non l’argent gagné. La nature des offrandes n’étant pas comparable, il semble difficile de justifier cette pratique aujourd’hui.

« Toute dîme de la terre, soit des récoltes de la terre, soit du fruit des arbres, appartient à l’Eternel; c’est une chose consacrée à l’Eternel. Si quelqu’un veut racheter quelque chose de sa dîme, il y ajoutera un cinquième. Toute dîme de gros et de menu bétail, de tout ce qui passe sous la houlette, sera une dîme consacrée à l’Eternel. On n’examinera point si l’animal est bon ou mauvais, et l’on ne fera point d’échange ; si l’on remplace un animal par un autre, ils seront l’un et l’autre chose sainte, et ne pourront être rachetés. » (Lévitique 27:30-33)

Il est vrai qu’elle pouvait aussi être acquittée, totalement ou en partie, avec de l’argent, mais il fallait payer en plus un cinquième de sa valeur. Or ce rachat était seulement pour les produits de la terre et non pour les animaux.

Par conséquent, en extrapolant cette pratique à l’Église actuelle, cela voudrait dire qu’un fermier chrétien serait dans l’obligation de ramener la dîme de son bétail à l’église !

Dans le Nouveau Testament, il n’existe pas d’exigence chiffrée sur les offrandes, mais plus un principe de générosité propre à chacun.

« Sachez-le, celui qui sème peu moissonnera peu, et celui qui sème abondamment moissonnera abondamment. Que chacun donne comme il l’a résolu en son cœur, sans tristesse ni contrainte ; car Dieu aime celui qui donne avec joie. Et Dieu peut vous combler de toutes ses grâces, afin que, possédant toujours en toutes choses de quoi satisfaire à tous vos besoins, vous ayez encore en abondance pour toute bonne œuvre, selon qu’il est écrit : Il a fait des largesses, il a donné aux indigents ; Sa justice subsiste à jamais. Celui qui fournit de la semence au semeur, et du pain pour sa nourriture, vous fournira et vous multipliera la semence, et il augmentera les fruits de votre justice. »
(2 Corinthiens 9 : 6)


Pour Paul, l’attitude du cœur du croyant prévaut sur la quantité donnée. Le chrétien est appelé à donner généreusement, librement et avec joie.

Comme il a été vu précédemment, en additionnant les différentes dimes que les Israélites devaient payer chaque année, la somme totale s’approchait plus de 23,3% que de 10%.

Certaines personnes citent le versement de la dîme par Abram et Jacob dans Genèse pour justifier son intemporalité.

Cet argument ne tient pas car le don d’Abram était volontaire et ponctuel. Quant à Jacob, il a promis à Dieu de donner la dîme sous certaines conditions … Ces deux dîmes n’ont rien à voir avec celles de la loi mosaïque.

« Depuis le temps de vos pères, vous vous êtes écartés de mes ordonnances, Vous ne les avez point observées. Revenez à moi, et je reviendrai à vous, dit l’Éternel des armées. Et vous dites : En quoi devons-nous revenir ?
Un homme peut-il tromper Dieu ? En effet, vous me trompez et vous dites : « En quoi t’avons-nous trompé ?» Dans les dîmes et les offrandes. Vous êtes frappés par la malédiction et vous me trompez, la nation tout entière !
Apportez toutes les dîmes à la maison du trésor afin qu’il y ait de la nourriture dans ma maison. Mettez-moi ainsi à l’épreuve, dit l’Eternel, le maître de l’univers, et vous verrez si je n’ouvre pas pour vous les fenêtres du ciel, si je ne déverse pas sur vous la bénédiction en abondance. »
(Malachie 3 : 7 – 10 (LSG))


Certains pasteurs utilisent ce passage pour justifier le versement de la dîme en affirmant que ne pas la donner, c’est voler Dieu.

Le but principal de cette section de Malachie est d’appeler le peuple d’Israël à la repentance. La dîme n’était qu’une expression de cette désobéissance.

Pour donner le contexte, le livre de Malachie est structuré en « 6 débats » entre Dieu et les Israélites revenus d’exil. L’un de ces débats concerne le non-versement de la dîme des lévites. Par son comportement, le peuple juif s’était attiré la malédiction de Dieu, comme annoncé dans la clause de l’alliance (Deutéronome 11 : 13 – 14 ; 28 :12), si le peuple changeait et respectait les commandements de Dieu, alors le pays serait béni par l’Eternel.

La malédiction dont il est question ici était liée au non-respect de la loi mosaïque dans sa globalité :

« Mais si tu n’obéis point à la voix de l’Éternel, ton Dieu, si tu n’observes pas et ne mets pas en pratique tous ses commandements et toutes ses lois que je te prescris aujourd’hui, voici toutes les malédictions qui viendront sur toi et qui seront ton partage. » (Deutéronome 28 : 15)

Nulle part dans la Parole de Dieu, il est enseigné qu’une personne puisse être bénie en obéissant uniquement à un seul commandement parmi les 613 de la loi. De plus, elle n’enseigne pas non plus que l’on puisse échapper à la malédiction de toute la loi en obéissant uniquement à l’un des 613 commandements.

Or, pour nous qui vivons dans la Nouvelle Alliance, nous ne sommes plus soumis à cette malédiction grâce au sacrifice de Jésus,

« Christ nous a rachetés de la malédiction de la loi, étant devenu malédiction pour nous -car il est écrit : Maudit est quiconque est pendu au bois, » (Galates 3 : 13)


La conclusion que nous pouvons alors tirer c’est qu’il y a deux alliances (l’ancienne et la nouvelle), deux sacerdoces (lévitique et royal) et enfin deux lois (mosaïque et de Christ). Nous voyons distinctement par-là que la dîme ne peut plus être d’actualité sous la Nouvelle Alliance.

La dîme apparaît dans la Bible. La dîme est biblique, mais elle n’est pas chrétienne. La dîme appartient à l’Israël ancien. C’était essentiellement leur impôt sur le revenu. Vous ne trouverez jamais dans le Nouveau Testament que des chrétiens du premier siècle donnaient leurs dîmes ou que les apôtres et autres ministères incitaient à la donner. Chacun avait son mode opératoire avec sa propre conscience devant Dieu qui voit le coeur de chacun. Il est clair que Dieu béni celui qui donne avec Joie.

Combien d’actions une Eglise pourrait faire pour l’œuvre de Dieu si chaque chrétien avait donné au moins 10% ?

Par ailleurs, cette pratique oblige l’individu à donner de manière régulière et donc à se discipliner. L’offrande à Dieu deviendra alors une habitude que l’individu ne quittera plus. C’est un choix qu’un croyant peut faire volontairement.

Prenons le récit de la femme veuve et de ses deux pièces :

« Jésus était assis vis-à-vis du tronc et regardait comment la foule y mettait de l’argent. De nombreux riches mettaient beaucoup. Une pauvre veuve vint aussi; elle y mit deux petites pièces, une toute petite somme. Alors Jésus appela ses disciples et leur dit: «Je vous le dis en vérité, cette pauvre veuve a donné plus que tous ceux qui ont mis dans le tronc, car tous ont pris de leur superflu pour mettre dans le tronc, tandis qu’elle, elle a mis de son nécessaire, tout ce qu’elle possédait, tout ce qu’elle avait pour vivre.» (Marc 12 : 41-44)

Qu’est-ce que le superflu et qu’est-ce que le nécessaire ? Il est difficile de répondre. Cependant, Jésus encourage ses disciples à donner avec abondance. L’offrande doit être une expression significative de la dépendance et de la gratitude du chrétien envers Dieu.

Il n’existe pas de pourcentage précis dans la Bible quant au montant à donner, ce dernier est à définir entre le croyant et Dieu.

Il serait sage de donner en premier à Dieu qui tient la première place dans notre vie.

« C’est à l’Eternel qu’appartient la terre avec tout ce qu’elle contient, le monde avec tous ceux qui l’habitent, » (Psaume 24 : 1)

La Bible nous enseigne que nous devons donner en réponse à un besoin et non pas pour répondre à la cupidité de ceux qui nous font des appels d’argent ! Aujourd’hui, beaucoup de chrétiens font l’objet d’incessantes sollicitations. Les professionnels de la religion qui les dirigent leur demandent sans cesse des dons toujours plus importants pour pouvoir se payer des propriétés luxueuses, acheter les derniers modèles de voitures, voyager dans le monde entier, et se bâtir d’immenses empires financiers contrôlés par leur famille, tout cela, bien entendu, « pour la gloire de Dieu » ! Tous ces bâtisseurs d’empires ont bien soin de demander aux chrétiens de verser la dîme à leur ministère, en les menaçant des pires châtiments de Dieu s’ils ne s’exécutent pas ! La Bible ne nous demande absolument pas d’encourager la cupidité de tels hommes. Elle nous demande plutôt de secourir les besoins véritables : « Car il n’y avait aucun indigent parmi eux ; parce que tous ceux qui possédaient des terres ou des maisons les vendaient, et apportaient le prix de ce qu’ils avaient vendu. Ils le mettaient aux pieds des apôtres ; et on le distribuait à chacun selon qu’il en avait besoin » Actes 4:34-35 (lire aussi Actes 11 :27-30).

« Prenez garde de ne pas faire votre aumône devant les hommes, afin d’en être vus ; autrement vous n’en aurez point de récompense de votre Père qui est aux cieux. Quand donc tu feras l’aumône, ne fais pas sonner la trompette devant toi, comme font les hypocrites dans les synagogues et dans les rues, afin qu’ils en soient honorés des hommes. Je vous dis en vérité qu’ils reçoivent leur récompense. Mais quand tu fais l’aumône, que ta main gauche ne sache pas ce que fait ta droite ; afin que ton aumône se fasse en secret ; et ton Père qui voit dans le secret te le rendra publiquement » Matthieu 6:1-4. Le Seigneur nous demande donc de donner secrètement, et humblement.

« Lorsqu’on donne de bon coeur, Dieu accepte ce don, en tenant compte de ce que l’on a, et non de ce que l’on n’a pas. » 2 Corinthiens 8:12, SEM.

Admettons par exemple que vous ne disposez d’une somme d’argent qui équivaut à 100 euro, et qu’il vous faut régler la même somme à quelqu’un, mais au lieu de payer votre dette, vous vous aventurez à donner votre argent à une organisation religieuse, Dieu n’acceptera pas votre offrande. Il ne la considèrera pas comme « acceptable ». Ne donnez que ce dont vous disposez réellement. Je vous prie de ne plus vous laissez pas avoir par tous ceux qui manipulent les chrétiens par leurs boniments, comme c’est le cas dans la plupart d’églises pentecôtistes ou charismatiques. On vous demande alors de « donner par la foi, en croyant que Dieu va multiplier par cent votre don »! La Bible dit clairement que le Seigneur considère de tels dons comme inacceptables !

Il y a certains pasteurs sans coeur qui poussent leurs fidèles à s’endetter et même à avoir les crédits pour payer la dîme.

« Que chacun donne selon qu’il l’a résolu en son coeur, non à regret, ni par contrainte; car Dieu aime celui qui donne avec joie. Et Dieu est puissant pour vous combler de toutes sortes de grâces, afin qu’ayant toujours tout ce qui vous est nécessaire, vous abondiez en toutes sortes de bonnes oeuvres, selon qu’il est écrit : Il a répandu, il a donné aux pauvres ; sa justice demeure éternellement. Or, Celui qui fournit la semence au semeur, et du pain pour sa nourriture, vous donnera et multipliera votre semence et augmentera les fruits de votre justice ; afin que vous soyez enrichis en toute manière, pour accomplir toutes sortes de libéralités, qui fassent rendre à Dieu par nous des actions de grâces. Car l’administration de cette offrande non seulement pourvoit aux besoins des saints, mais encore elle abonde en actions de grâces que plusieurs rendront à Dieu » 2 Corinthiens 9:7-12

Nous comprenons explicitement par ces textes comment la Bible enseigne la manière de donner : rien ne sert à avoir un cœur lourd et serré lors de l’offrande, il ne faut donner que si vous êtes réellement heureux de donner ! La Bible ne nous demande pas non plus de donner plus que nous pouvons nous le permettre, en nous forçant à être joyeux de le faire ! Le verset 7 résume le mieux ce que le Nouveau Testament nous demande de faire quand nous donnons : « Que chacun donne selon qu’il l’a résolu en son coeur, non à regret, ni par contrainte; car Dieu aime celui qui donne avec joie » 2 Corinthiens 9:7.

Le désir de Dieu est que son peuple donne uniquement une offrande venant du cœur, sans contrainte ni tristesse ou pincement mais avec joie. Cependant, si vous ne pouvez pas donner avec joie, alors ne donnez rien ! Dieu ne l’exige pas, et il n’acceptera pas un tel don ! Dieu agrée une offrande faite de bons cœurs.

Le Nouveau Testament enseigne l’importance de donner et les bienfaits qui en découlent. Nous devons tous donner ce que nous pouvons, parfois plus de 10 %, parfois moins, en fonction de nos moyens et des besoins de l’Église. Chaque chrétien doit prier avec persévérance et demander à Dieu la sagesse pour savoir s’il doit donner la dîme ou sinon, combien donner (Jacques 1.5). Surtout, toutes nos dîmes et offrandes doivent être faites avec des motivations pures et une attitude de louange à Dieu et de service du corps de Christ. « Que chacun donne comme il l’a décidé dans son cœur, sans regret ni contrainte, car Dieu aime celui qui donne avec joie. » (2 Corinthiens 9.7)

Laisser un commentaire

search previous next tag category expand menu location phone mail time cart zoom edit close